Résumé :
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La nouvelle loi foncière se situe dans les relations entre le pouvoir central et les pouvoirs locaux. C'est la question de l'autonomie des provinces qui est en jeu dans le cadre de la nouvelle réforme. Outil privilégié de l'appareil central de l'État en vue d'assurer un développement rapide et compétitif du territoire, l'exploitation des resources foncières constitue également un moyen d'action de choix pour les provinces. Toutefois, dans un contexte constitutionnel de réaffimation du principe de centralisme démocratique, quelle peut-être la marge de liberté laissée aux provinces par le pouvoir central ?
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