Résumé :
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Avishaï Cohen, sur la scène du casino d'Enghien-les-bains, embrasse ses racines arabo-andalouses de toutes ses forces. Tout d'abord grâce à l'oud, un instrument qui rappelle immanquablement le Moyen-Orient, même aux oreilles les moins avisées. Puis, aussi, à travers le travail du nouveau percussionniste Itamar Doari qui n'hésite pas à laisser sa batterie et à utiliser des tambours plus traditionnels. Enfin, et puisque la voix d'Avishaï prend de plus en plus de place, grâce aux textes d'Avishaï qui chante tour à tour en Anglais, en Espagnol et en Ladino. La performance d'Avishaï et de ses musiciens à Enghien, nous fait entrer de plain-pied dans l'univers intime d'un artiste qui disque après disque se dévoile toujours un peu plus.
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